Toutes les douleurs ne se ressemblent pas.

Il y a les tensions qui tirent, les raideurs qui fatiguent, l’inconfort persistant qui s’installe…

Et dans la gestion de la douleur, il n’existe malheureusement pas de solution magique.

Souvent, c’est la combinaison de plusieurs approches — médicales ou complémentaires — qui permet d’avancer : médicamenteuse, kiné, activité adaptée, alimentation, hypnose, relaxation, opération parfois…

Et quelquefois, certains appareils peuvent offrir un petit plus.

Le TENS, par exemple, est un petit appareil qui envoie de douces stimulations électriques au niveau de la peau, utilisé par certaines personnes pour apaiser leurs tensions ou leurs inconforts.

C’est d’ailleurs un outil souvent proposé dans les centres antidouleur… mais il faut être honnête :

✔ parfois, ça ne change rien.

✔ et pour d’autres, ça apporte assez de mieux pour souffler un peu.

Le vrai problème, c’est qu’on ne peut pas savoir à l’avance dans quelle catégorie on se trouve.

Il faut tester pour le découvrir — et les délais d’attente pour seulement essayer sont parfois de plusieurs mois.

Alors, dans un esprit solidaire, et toujours en complément du parcours médical, je mets simplement à disposition en libre-service dans mon cabinet un appareil TENS pour permettre à chacun de tester, sans attendre, sans engagement, juste pour se faire une idée.

20 minutes pour voir si :

✔ ça apporte un petit mieux

✔ ça ne change rien

✔ ou si ce n’est pas fait pour vous

Il ne remplace rien. Il ne soigne pas. Mais parfois, un petit mieux… c’est déjà beaucoup.

Comprendre son stress, ça commence parfois par… le voir.

Certaines personnes ressentent un mental qui tourne trop vite, des tensions internes, une difficulté à se poser…

Et dans la gestion du stress, il n’existe malheureusement pas de solution unique.

Souvent, c’est une combinaison d’approches — médicales ou complémentaires — qui finit par aider : respiration, relaxation, hypnose, activité physique, sommeil…

Et parfois, un petit outil peut apporter un éclairage intéressant.

Le bandeau EEG (électro-encéphalogramme) fonctionne grâce à de petits capteurs posés sur le front et derrière les oreilles.

Ils captent de minuscules variations électriques naturelles produites par le cerveau — un peu comme un micro sensible — et l’application les traduit en un retour visuel ou sonore.

Ce n’est pas un examen médical, pas un diagnostic : c’est simplement un biofeedback, autrement dit une manière de voir si votre activité mentale est plutôt agitée ou plutôt calme, en temps réel.

Et il faut être honnête :

✔ pour certains, ça crée un petit déclic — « ah, c’est comme ça que je me calme »

✔ et parfois, ce n’est tout simplement pas parlant

Le seul moyen de savoir… c’est d’essayer.

Et les occasions d’essayer ce type d’outil sont rares.

Comme c'est un appareil onéreux, dans un esprit solidaire et toujours en complément du parcours médical, je mets simplement à disposition en libre-service dans mon cabinet un bandeau EEG pour permettre à chacun de découvrir le biofeedback : juste pour voir comment votre mental réagit lorsque vous respirez différemment, vous détendez, ou vous concentrez.

20 minutes pour observer si :

✔ ça vous aide à vous poser

✔ ou si ce n’est pas fait pour vous

Ça ne remplace rien. Ça ne soigne rien. Mais parfois, comprendre comment on fonctionne… ça aide à avancer.

Reprendre confiance dans le mouvement… parfois, ça commence par jouer.

Après un accident, une maladie ou une période d’immobilisation, retrouver un geste simple peut devenir un vrai défi : le mouvement hésite, la peur de la douleur freine, et on ne sait plus toujours comment relancer la dynamique.

Dans ces moments-là, la rééducation repose évidemment sur des professionnels qualifiés.

Mais certaines approches complémentaires peuvent rendre ce chemin plus motivant, plus engageant, plus ludique.

🎮 FitMi et MusicGlove, de Flint Rehab, sont des dispositifs professionnels utilisés dans de nombreux centres de rééducation à travers le monde.

Leur efficacité est largement documentée : en sollicitant les gestes sous forme de mini-jeux interactifs, ils stimulent la répétition, la motivation, l’attention — trois piliers essentiels de la récupération motrice.

On ne parle pas ici d'un gadget, mais d'un matériel professionnel haut de gamme, coûtant plusieurs milliers d'euros, et malheureusement trop peu accessible faute de moyens ou d’équipements dans beaucoup de structures.

Ce qui rend ces outils si intéressants :

✔  le côté ludique réduit la peur d’avoir mal

✔  le cerveau “rejoue” le mouvement sans y penser

✔  plus on bouge, plus on retrouve confiance

✔  et parfois, refaire un geste simple… change tout

Ici, FitMi et MusicGlove ne remplacent rien : ils complètent le parcours médical de la personne, en offrant un espace où l’on peut redécouvrir le mouvement autrement — avec plaisir, curiosité et sans pression.

Dans un esprit solidaire, je mets à disposition au cabinet de Mèze des créneaux test de 20 minutes pour découvrir ces outils professionnels : juste pour ressentir comment le jeu peut décoincer, redonner confiance, ou relancer un geste longtemps oublié.

20 minutes pour :

✔ se remettre en mouvement en douceur

✔ expérimenter une méthode ludique validée dans le monde entier

✔ reprendre contact avec un geste que l’on croyait perdu

Ça ne remplace rien. Ça ne soigne pas. Mais ça fonctionne, et pour beaucoup de personnes, c’est une vraie bouffée d’élan.